Bonjour les amis !

Devinez quoi … Gabriel vous apporte une nouvelle lettre !


Le mot du père Daniel

Chers paroissiens,

La première quinzaine de confinement est terminée, OUF !!!!

Mais le combat contre le covid-19 se poursuit et notre désert également.

PATIENCE ET CONFIANCE nous serons vainqueurs avec la prière et la science des chercheurs, sans omettre l’œuvre des soignants.

Aujourd’hui, il m’appartient de vous alerter sur la question des finances de l’Église et celles de nos communautés. Le confinement nous sépare, mais il affecte également nos ressources puisque désormais AUCUNE quête ne rentre le dimanche.

Les funérailles sont célébrées très simplement au cimetière mais nous y sommes.

Les baptêmes et mariages sont reportés.

Les quêtes et casuels nous font défaut.

Pourtant, chaque prêtre doit avoir son traitement mensuel.

Les factures d’électricité, de gaz, des assurances sont prélevées mensuellement.

Les contributions pour le diocèse sont des exigences auxquelles nous ne pouvons pas déroger.

Nous avons un peu de trésorerie bien sûr mais pour combien de temps ?

Les paroisses ne reçoivent AUCUNE AIDE extérieure ni de l’évêché ni du Vatican.

Je vous prie de prendre en considération mon appel et de poursuivre votre participation à la quête soit en utilisant le lien que nous avons déjà communiqué, soit en déposant une enveloppe dans la boîte du presbytère si vous faites quelques promenades ou en envoyant un chèque. Surtout précisez bien QUÊTE DOMINICALE.

La vie matérielle de la communauté catholique nous concerne tous. Je vous remercie de votre générosité.

Je vous redis ma proximité dans ces moments difficiles et vous redis que chaque jour, à Castanet ou à Saint-Orens, nous célébrons la messe sans Peuple visible mais pourtant AVEC vous et POUR vous.


Nous avons besoin de vous , merci pour votre aide

( Cliquez sur l’image)


Merci de nous aider à poursuivre notre mission, même dans le confinement.


Prières et activités pour préparer le dimanche des Rameaux, seul ou en famille

LE DIMANCHE DES RAMEAUX 2020

SE PRÉPARE LE PLUS TÔT POSSIBLE

Les lectures sont longues, cela se prépare aussi 😉

Privilégiez les évangiles pour les lectures.

Il ne faudrait pas que la bonne intention de célébrer à la maison se transforme en lourdeur familiale. Le principal c’est notre amour pour Jésus.

Proposition : Réaliser un jardin de Pâques qui commence dès le dimanche des Rameaux. Lien intéressant pour s’inspirer : https://www.paris.catholique.fr/un-jardin-de-paques-a-fabriquer-49223.html

Une belle liturgie : préparer ses rameaux !
Plusieurs options puisqu’il y a plusieurs confinements possibles 😉

Rameaux des « grands jardiniers »: prendre une branche de son jardin,

Rameaux des « grands écoliers » : écrire une lettre d’amour à Jésus et la placer sur son chemin,

Rameaux des « grands gourmands » : préparer des sablés en forme de rameaux,

Rameaux des « grands précieux » : choisir un objet qui nous est cher pour le placer sur le chemin de Jésus,

Rameaux des grands artistes : dessiner des rameaux (ou en imprimer si vous avez encore de l’encre),

Rameaux des grands bricolos : confectionner des petites fleurs en papier crépon.

Pourquoi pas ?… Faire pousser des lentilles dès maintenant pour qu’elles germent pour Pâques ?


Chant d’entrée

A défaut de pouvoir entrer dans l’église, partons d’une pièce de la maison et chantons en nous dirigeant vers notre lieu de prière.

R. Voici celui qui vient au Nom du Seigneur.
Acclamons notre Roi,
Hosanna ! (bis)

  1. Portes, levez vos frontons.
    Levez-vous, portes éternelles.
    Qu’il entre le Roi de gloire.
  2. Honneur et gloire à ton Nom
    Roi des rois, Seigneur des puissances
    Jésus, que ton règne vienne.
  3. Venez, rameaux à la main.
    Célébrez le Dieu qui vous sauve :
    Aujourd’hui s’ouvre son règne.
  4. Jésus, roi d’humilité,
    Souviens-toi de nous dans ton règne,
    Accueille-nous dans ta gloire.

Entrée messianique

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (Mt 21, 1-11)

Jésus et ses disciples, approchant de Jérusalem, arrivèrent en vue de Bethphagé, sur les pentes du mont des Oliviers. Alors Jésus envoya deux disciples

en leur disant : « Allez au village qui est en face de vous ; vous trouverez aussitôt une ânesse attachée et son petit avec elle. Détachez-les et amenez-les moi.

Et si l’on vous dit quelque chose, vous répondrez : “Le Seigneur en a besoin”. Et aussitôt on les laissera partir. »

Cela est arrivé pour que soit accomplie la parole prononcée par le prophète :

Dites à la fille de Sion : Voici ton roi qui vient vers toi, plein de douceur, monté sur une ânesse et un petit âne, le petit d’une bête de somme.

Les disciples partirent et firent ce que Jésus leur avait ordonné.

Ils amenèrent l’ânesse et son petit, disposèrent sur eux leurs manteaux, et Jésus s’assit dessus.

Dans la foule, la plupart étendirent leurs manteaux sur le chemin ; d’autres coupaient des branches aux arbres et en jonchaient la route.

Les foules qui marchaient devant Jésus et celles qui suivaient criaient : « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! »

Comme Jésus entrait à Jérusalem, toute la ville fut en proie à l’agitation, et disait : « Qui est cet homme ? »

Et les foules répondaient : « C’est le prophète Jésus, de Nazareth en Galilée. »

– Acclamons la Parole de Dieu.


Première lecture

« Je n’ai pas caché ma face devant les outrages,
je sais que je ne serai pas confondu » (Is 50, 4-7)

Lecture facultative en famille

Lecture du livre du prophète Isaïe

Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples,
pour que je puisse, d’une parole,
soutenir celui qui est épuisé.
Chaque matin, il éveille,
il éveille mon oreille
pour qu’en disciple, j’écoute.
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille,
et moi, je ne me suis pas révolté,
je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient,
et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe.
Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ;
c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages,
c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre :
je sais que je ne serai pas confondu.

– Parole du Seigneur.


Psaume

(Ps 21 (22), 8-9, 17-18a, 19-20, 22c-24a)

Pour varier et permettre aux plus petits de ne pas se lasser trop vite, on peut envisager d’écouter le Psaume chanté.
Facultatif si vous estimez que c’est un peu long.

R/ Mon Dieu, mon Dieu,
pourquoi m’as-tu abandonné ?
(Ps 21, 2a)

Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
« Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »

Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
je peux compter tous mes os.

Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !

Tu m’as répondu !
Et je proclame ton nom devant mes frères,
je te loue en pleine assemblée.
Vous qui le craignez, louez le Seigneur


Deuxième lecture

« Il s’est abaissé : c’est pourquoi Dieu l’a exalté » (Ph 2, 6-11)

Lecture facultative en famille

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens

Le Christ Jésus, ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu.

Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. Reconnu homme à son aspect,

il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la croix.

C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom,

afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et aux enfers,

et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur » à la gloire de Dieu le Père.

– Parole du Seigneur.


Évangile

Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Matthieu (Mt 26, 14 – 27, 66)

Lire la Passion ou écouter La Passion selon St Matthieu de Bach.
Nos âmes peuvent comprendre au-delà des langues.
Cette lecture est longue et se lit à plusieurs.

La Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Matthieu

Les sigles désignant les divers interlocuteurs son les suivants :
X = Jésus ; L= Lecteur ; D = Disciples et amis ; F= Foule ; A= Autres personnages.

L. On fit comparaître Jésus devant Pilate, le gouverneur,
qui l’interrogea :
A. « Es-tu le roi des Juifs ? »
L. Jésus déclara :
X. « C’est toi-même qui le dis. »
L. Mais, tandis que les grands prêtres et les anciens l’accusaient,
il ne répondit rien.
Alors Pilate lui dit :
A. « Tu n’entends pas tous les témoignages portés contre toi ? »
L. Mais Jésus ne lui répondit plus un mot,
si bien que le gouverneur fut très étonné.
Or, à chaque fête, celui-ci avait coutume de relâcher un prisonnier,
celui que la foule demandait.
Il y avait alors un prisonnier bien connu, nommé Barabbas.
Les foules s’étant donc rassemblées,
Pilate leur dit :
A. « Qui voulez-vous que je vous relâche :
Barabbas ? ou Jésus, appelé le Christ ? »
L. Il savait en effet que c’était par jalousie qu’on avait livré Jésus.
Tandis qu’il siégeait au tribunal,
sa femme lui fit dire :
A. « Ne te mêle pas de l’affaire de ce juste,
car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui. »
L. Les grands prêtres et les anciens poussèrent les foules
à réclamer Barabbas
et à faire périr Jésus.
Le gouverneur reprit :
A. « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? »
L. Ils répondirent :
F. « Barabbas ! »
L. Pilate leur dit :
A. « Que ferai-je donc de Jésus
appelé le Christ ? »
L. Ils répondirent tous :
F. « Qu’il soit crucifié ! »
L. Pilate demanda :
A. « Quel mal a-t-il donc fait ? »
L. Ils criaient encore plus fort :
F. « Qu’il soit crucifié ! »
L. Pilate, voyant que ses efforts ne servaient à rien,
sinon à augmenter le tumulte,
prit de l’eau et se lava les mains devant la foule,
en disant :
A. « Je suis innocent du sang de cet homme :
cela vous regarde ! »
L. Tout le peuple répondit :
F. « Son sang, qu’il soit sur nous et sur nos enfants ! »
L. Alors, il leur relâcha Barabbas ;
quant à Jésus, il le fit flageller,
et il le livra pour qu’il soit crucifié.

Alors les soldats du gouverneur emmenèrent Jésus dans la salle du Prétoire
et rassemblèrent autour de lui toute la garde.
Ils lui enlevèrent ses vêtements
et le couvrirent d’un manteau rouge.
Puis, avec des épines, ils tressèrent une couronne,
et la posèrent sur sa tête ;
ils lui mirent un roseau dans la main droite
et, pour se moquer de lui, ils s’agenouillaient devant lui en disant :
F. « Salut, roi des Juifs ! »
L. Et, après avoir craché sur lui, ils prirent le roseau,
et ils le frappaient à la tête.
Quand ils se furent bien moqués de lui,
ils lui enlevèrent le manteau,
lui remirent ses vêtements,
et l’emmenèrent pour le crucifier.

En sortant, ils trouvèrent un nommé Simon, originaire de Cyrène,
et ils le réquisitionnèrent pour porter la croix de Jésus.
Arrivés en un lieu dit Golgotha,
c’est-à-dire : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire),
ils donnèrent à boire à Jésus du vin mêlé de fiel ;
il en goûta, mais ne voulut pas boire.
Après l’avoir crucifié,
ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort ;
et ils restaient là, assis, à le garder.
Au-dessus de sa tête
ils placèrent une inscription indiquant le motif de sa condamnation :
« Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Alors on crucifia avec lui deux bandits,
l’un à droite et l’autre à gauche.
Les passants l’injuriaient en hochant la tête ;
ils disaient :
F. « Toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours,
sauve-toi toi-même, si tu es Fils de Dieu,
et descends de la croix ! »
L. De même, les grands prêtres se moquaient de lui
avec les scribes et les anciens, en disant :
A. « Il en a sauvé d’autres,
et il ne peut pas se sauver lui-même !
Il est roi d’Israël :
qu’il descende maintenant de la croix,
et nous croirons en lui !
Il a mis sa confiance en Dieu.
Que Dieu le délivre maintenant,
s’il l’aime !
Car il a dit :
‘Je suis Fils de Dieu.’ »
L. Les bandits crucifiés avec lui l’insultaient de la même manière.

À partir de la sixième heure (c’est-à-dire : midi),
l’obscurité se fit sur toute la terre
jusqu’à la neuvième heure.
Vers la neuvième heure,
Jésus cria d’une voix forte :
X. « Éli, Éli, lema sabactani ? »,
L. ce qui veut dire :
X. « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
L. L’ayant entendu,
quelques-uns de ceux qui étaient là disaient :
F. « Le voilà qui appelle le prophète Élie ! »
L. Aussitôt l’un d’eux courut prendre une éponge
qu’il trempa dans une boisson vinaigrée ;
il la mit au bout d’un roseau,
et il lui donnait à boire.
Les autres disaient :
F. « Attends !
Nous verrons bien si Élie vient le sauver. »
L. Mais Jésus, poussant de nouveau un grand cri,
rendit l’esprit.

(Ici on fléchit le genou et on s’arrête un instant)

Et voici que le rideau du Sanctuaire se déchira en deux,
depuis le haut jusqu’en bas ;
la terre trembla et les rochers se fendirent.
Les tombeaux s’ouvrirent ;
les corps de nombreux saints qui étaient morts ressuscitèrent,
et, sortant des tombeaux après la résurrection de Jésus,
ils entrèrent dans la Ville sainte,
et se montrèrent à un grand nombre de gens.
À la vue du tremblement de terre et de ces événements,
le centurion et ceux qui, avec lui, gardaient Jésus,
furent saisis d’une grande crainte et dirent :
A. « Vraiment, celui-ci était Fils de Dieu ! »

– Acclamons la Parole de Dieu.


Après un temps de silence, chacun peut exprimer une intention pour confier à notre bon Jésus le monde et le salut des âmes.

Prier lentement le Notre Père

Conclure dans les bras de la Vierge Marie


Je te salue Marie comblée de grâce
Le Seigneur est avec toi
Tu es bénie Marie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de tes entrailles est béni

Sainte Marie, Mère de Dieu
Oh prie pour nous, pauvres pécheurs
Dès maintenant et jusqu’à l’heure
De notre mort AMEN

Ave Maria (x9)

Je te salue Marie comblée de grâce
Le Seigneur est avec toi
Tu es bénie Marie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de tes entrailles est béni

Sainte Marie, Mère de Dieu
Oh prie pour nous, pauvres pécheurs
Dès maintenant et jusqu’à l’heure
De notre mort AMEN

Ave Maria (x16)
Ave Maria (x9)


Nos aînés nous disent MERCI !


Les sourires du jour

« C’est votre commandant de bord qui vous parle, aujourd’hui je suis en télétravail à mon domicile … »


Bonne journée à tous, à demain !